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mes image (31/08 14:53)
Je viens ici pour l'amitié tout simplement et surtout pas pour la guerre des blogs. Non plus pour des imbéciles qui te font croire qui sont des amis sincères et sans pudeur te salissent derrière ton dos comme certains. J'ai construis un blog pour l'amitié sincère et durable pour les bons et les mauvais moments de la vie de chacun et sans hypocrisie. Je suis là tout simplement pour aimer et être aimée…Mon amitié est sincère. Je suis une femme qui n'aime pas les guerres sur les blogs ni les embrouille et je ne veux pas que l'on m'en procure. Ceux qui viennent pour poser des problèmes sans les avertir je les exclu de mon univers sans détour et sans pitié. Je voudrai aussi éviter les chaines, sauf évidemment les articles à faire suivre pour les malades. °*°*Ce sont mes amis qui m'ont fait aimer la vie. Ils me rendent meilleur à mesure que je les trouve meilleurs eux-mêmes... °*°* Amour...Amitié…Fraternité…Partage Merci à vous et bonne visite, merci de votre compréhension, Barbara…

SI TU ES UNE VRAIE AMIE TU PEUX FAIRE CELA: UNE PERSONNE HANDICAPEE N'EST PAS CONTAGIEUSE ELLE DEMANDE JUSTE QU'ON L'ACCEPTE TELLE QU'ELLE EST DANS LA SOCIETE. 97%DES PERSONNES NE COPIERONT PAS CETTE ANNONCE ET NE L'UTILISERONT PAS COMME STATUT, SERAS TU COMME MOI L'UNE DES 3% A AFFICHER CE STATUT AU MOINS PENDANT 1HEURE SUR TON BLOG OU SUR TON PROFIL
Samira et Barbara amies pour la vie...











































































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Bonne route
01/09/2005 20:37

Sur le chemin qui te mène, Dans un endroit de vacances, Va, repose-toi et quand bien même, Si la vie n`est pas toujours une évidence, Faite de réalités et de rêves, L`on est toujours en partance Vers ce soleil qui se lève.
Va, les pieds nus sur le sable, Tes songes vers l`horizon lointain, Traverseront cet océan pour arriver sur ma table, Que je retrouverai le matin.

Va, compose, chante, danse, Les mots sortiront de ton coeur. Ces mots, je les pose, Dans ce lieu où je n`ai pas peur.
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Baiser volé
01/09/2005 20:22
Une brise fine et légère telle une caresse effleure mon visage
 Un parfum doux et suave élixir enivrant de ton être se dégage
 Tu te rapproches, je vacille, ton bras me retient et m'étreint Un courant m'attire et m'emporte aux confins de tes mains Je lève alors les yeux et mes paupières lourdement se ferment,
 Sous le joug de ton regard poignant Où l'amour triomphant du dilemme oppressant Arbore dans nos coeurs son oriflamme chatoyant Règne et abolit toutes les frontières qui enclavent Les chemins ou se rejoignent raisons et sentiments

Tes doigts s'enfoncent et s'égarent dans mon épaisse chevelure
 Un frisson sillonne mon corps et parsème ses grains sur ma peau
 Tes mains glissant le long de ma nuque pénètrent mon encolure
 Nos regards se croisent se devinent et succombent au flambeau
 Nos lèvres se frôlent,s'invitent et se confondent en une danse
 Où nos êtres fusionnent au rythme

De l'amour enchanteur au pouvoir ineffable Composant une musique incommensurable Aux accords sibyllins exaltant le désir muet De pouvoir clamer le droit de s'aimer.

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A l'heure ou
01/09/2005 20:15
A l'heure où les amants s'étreignent, Mon coeur est vide, et, mon coeur saigne.
Où sont passés tous ces amants Avides d'un corps adolescent.
Insouciance d'un fol désir Que dans mes yeux, Ils savaient lire.
Quand dans les bois, je gambadais Tapis feuilles mortes et de genêts.
Petit papillon, ailes fragiles Grande insouciance, pas immobile.
Rouge est le sang de la passion Que mon coeur cache derrière saisons.
Et ma chair voudrait faiblir Mon esprit prêt de défaillir.
A l'heure où ton sourire Est mon doudou d'amour A l'heure où mes soupirs Réclament un peu d'amour
Mes sens sont en éveil J'aimerais un calmant.
Où es-tu Mon Soleil ?
Où es-tu, Mon Amant ?
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A jamais
01/09/2005 20:06
Hantes-moi, le jour, la nuit, la vie entière C'est mon seul souhait, ma seule prière.
Apparaît dans mes rêves, la nuit Deviens mon cauchemar pour la vie Fais-moi perdre, à tout jamais, la raison
Sois le fantôme de mon âme, et dans ma maison Prends d'autres formes, déguises toi Mais ne t'enlèves jamais de moi
Enchaînes-moi, comme les paroles d'une chanson Enfermes-moi, au cœur de ta prison Sois les larmes qui coulent sur mes joues
Ecrases-moi, jusque dans la boue Je resterai muré dans tes silences Souffrant lentement de te mots en abondance
Déjoues mes tours, quand je me fais malin Rattrapes-moi quand je te tends la main Obliges-moi à ne pas m’abandonner
Dans la mélasse où j’ai mis les pieds Attises mes flammes d’une atroce douleur Et embrase mon être avec une douce lenteur
Hantes-moi, maintenant, demain et pour toujours Jusqu'à m'en rendre aveugle et sourd Aimes-moi, sans "oui, mais"
Hais-moi, autant que je te hais Entraînes-moi vers l'enfer des pleurs Vers ce paradis noir, sans fleurs
Efforces-toi à me faire peur Fais-le, jusqu'à ma dernière heure Ancres tes colères en moi
Qu'elles me rongent, à petits pas Effaces les beautés de ce monde pourri Où j'erre sans but, depuis que je me maudit
Emmènes-moi au bord de ce gouffre profond Là où mes propres pensées me blesseront Puisque tu m'as donné tout le bien
Fais de moi, à présent, un moins que rien Déverse le pire des poisons dans mon eau Que je dérive vers la folie des maux
Hantes-moi, le jour, la nuit, la vie entière C'est mon seul souhait, ma seule prière.
Apparaît dans mes rêves, la nuit Deviens mon cauchemar pour la vie Fais-moi perdre, à tout jamais, la raison
Sois le fantôme de mon âme, et dans ma maison Prends d'autres formes, déguises toi Mais ne t'enlèves jamais de moi
Enchaînes-moi, comme les paroles d'une chanson Enfermes-moi, au cœur de ta prison Sois les larmes qui coulent sur mes joues
Ecrases-moi, jusque dans la boue Je resterai muré dans tes silences Souffrant lentement de te mots en abondance
Déjoues mes tours, quand je me fais malin Rattrapes-moi quand je te tends la main Obliges-moi à ne pas m’abandonner
Dans la mélasse où j’ai mis les pieds Attises mes flammes d’une atroce douleur Et embrase mon être avec une douce lenteur
Hantes-moi, maintenant, demain et pour toujours Jusqu'à m'en rendre aveugle et sourd Aimes-moi, sans "oui, mais"
Hais-moi, autant que je te hais Entraînes-moi vers l'enfer des pleurs Vers ce paradis noir, sans fleurs
Efforces-toi à me faire peur Fais-le, jusqu'à ma dernière heure Ancres tes colères en moi
Qu'elles me rongent, à petits pas Effaces les beautés de ce monde pourri Où j'erre sans but, depuis que je me maudit
Emmènes-moi au bord de ce gouffre profond Là où mes propres pensées me blesseront Puisque tu m'as donné tout le bien
Fais de moi, à présent, un moins que rien Déverse le pire des poisons dans mon eau Que je dérive vers la folie des maux
Résidante de ma mémoire aux portes fermées Arraches mon cœur et ses rayons condamnés Tourmentes-moi de tes reflets dans le miroir De sorte qu’ils m’obsèdent même dans le noir
Dis-moi des je t'aime à en mourir Pour que je t'offre encore mes sourires Je ne suis rien depuis et sans toi Et j'en meurs tous les jours, mais c'est ma loi
Je te répèterai ces mots jusqu'à ma fin Jusqu'à l'endroit, où nul ne revient
De tout ce que je suis et serai Du fond du cœur et à jamais Lyvi, je t’aimais, je t’aime et je t’aimerai
Résidante de ma mémoire aux portes fermées Arraches mon cœur et ses rayons condamnés Tourmentes-moi de tes reflets dans le miroir De sorte qu’ils m’obsèdent même dans le noir
Dis-moi des je t'aime à en mourir Pour que je t'offre encore mes sourires Je ne suis rien depuis et sans toi Et j'en meurs tous les jours, mais c'est ma loi
Je te répèterai ces mots jusqu'à ma fin Jusqu'à l'endroit, où nul ne revient
De tout ce que je suis et serai Du fond du cœur et à jamais je t’aimais,
je t’aime et je t’aimerai
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